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Le webmail Gmail permet à ses utilisateurs de se désabonner plus facilement d'une newsletter.

Dans Gmail, Google a décidé d'ajouter une petite aide au désabonnement d'une newsletter. Une nouveauté qui n'est pour l'heure pas visible sur l'ensemble des comptes mais annoncée sur le blog officiel de Gmail.

Un abonnement à une liste de diffusion peut remonter à un certain temps, et dès lors l'utilisateur dont les centres d'intérêt ont changé peut être amené à la considérer comme du courriel non sollicité. Le bouton " Signaler comme spam " de Gmail peut alors se doter d'une double fonction, permettant également de se désabonner d'une newsletter. C'est ce que viendra signifier une boîte de dialogue dédiée ( image ci-dessus ) à l'utilisateur.

Il s'agira néanmoins seulement de simplifier le processus de désabonnement, car théoriquement une newsletter digne de ce nom n'omet pas d'afficher un lien de désabonnement. On pourra d'ailleurs tiquer sur l'amalgame fait avec le spam par Google.

Le bouton de la boîte de dialogue est en effet intitulé " Se désabonner et signaler comme spam ", or en réalité cette nouvelle possibilité offerte par Gmail n'apparaît que pour certains expéditeurs et pas de véritables spammeurs. Il serait de toute façon inutile et bien mal venu de répondre à un message de spam pour ne plus en recevoir. Plus précisément, le processus ne fonctionne qu'à la condition qu'un expéditeur est inclus l'en-tête " List-Unsubscribe " dans l'e-mail accompagné de l'URL " mailto ".

Cette amalgame un tantinet polémique, notamment soulevé par TechCrunch, a eu son petit effet. Google a mis à jour son billet pour préciser que via " Afficher les détails " dans le coin supérieur droit d'un message, il est aussi possible de se désabonner d' une newsletter sans pour autant signaler du spam.


Génération-NT


Kingston Technology annonce la première clé de stockage USB de 256 Go, la DataTraveler 300.

Après la DataTraveler 200, Kingston Technology poursuit sa course à la capacité de stockage et passe avec la DataTraverler 300 de 128 à 256 Go. L'équivalent de 365 CD à transporter dans sa poche via une simple clé USB.

La Kingston DataTraveler 300 est intégrée dans un boîtier compact sans capuchon, mais un mécanisme rétractable permet de protéger le connecteur USB. Cette clé USB propose des taux de transfert de jusqu'à 20 Mo/s en lecture et 10 Mo/s en écriture. Elle est optimisée pour Windows ReadyBoost et dispose du logiciel Password Traveler pour une protection par mot de passe des fichiers sensibles.


Disponibilité et prix :

Livrée avec une garantie de cinq ans, cette clé USB pour l'heure hors norme n'est fabriquée que sur commande auprès d'un revendeur ou d'une boutique en ligne. Cela laisse augurer d'une douloureuse tout aussi hors norme. Le prix public est en effet de 657,08 € hors-taxe. Le prix à payer pour avoir la plus grosse... clé USB évidemment.


Les caractéristiques :

  • Conception solide sans capuchon
  • Capacité : 256 Go
  • Compatibilité USB 2.0
  • Taux de transfert : jusqu'à 20 Mo/s en lecture et 10 Mo/s en écriture
  • Dimensions : 70,68 x 16,90 x 21,99 mm
  • Température de fonctionnement : 0 à 60 °C
  • Température de Stockage : -20 à 85 °C
  • Logiciel de sécurité Password Traveler pour Windows
  • Optimisée pour Windows ReadyBoost sous Windows Vista
  • Garantie cinq ans


Voici le dernier disque dur externe USB, LG XF1. Cet élégant disque dur externe est livré avec 500 Go de stockage avec sortie HDMI qui vous permet de diffuser un contenu HD directement à votre téléviseur, lesvidéos AVI, Xvid et le large éventail de MPEGs côtés de tous les codecs audio. Pas d'informations concernant son prix et sa disponibilité pour le moment.

[via Ubergizmo]


Cette mise à jour du navigateur est la réponse de Mozilla à des soucis de stabilité constatés par certains utilisateurs de Firefox 3.5 et à la découverte d'une faille de sécurité critique au niveau du moteur JavaScript. Comme à son habitude, Mozilla aura été prompt à réagir et la version de Firefox, la 3.5.1 est désormais téléchargeable.

Mozilla l'avait annoncé seulement trois jours après le lancement de Firefox 3.5 : une mise à jour serait proposée dès la mi-juillet afin de remédier à certains problèmes de stabilité liés à des bugs du moteur JavaScript TraceMonkey.

Mais Firefox 3.5.1, dont Mozilla recommande vivement l'installation, répond aussi à une autre problématique, à savoir celle de la sécurité. En effet, le 14 juillet, sur son blog, l'équipe sécurité de Mozilla signalait la présence d'une faille de sécurité dans le composant Just-in-time (JIT) JavaScript.

Afin de prévenir toute exploitation de la vulnérabilité, il était donc recommandé de désactiver la fonction JIT du moteur JavaScript. Ce paramétrage manuel n'est plus nécessaire et il suffit à présent de mettre à jour Firefox (directement depuis le navigateur, dans le menu "?", puis "rechercher des mises à jour").


La progression de Bing est suffisante pour que l'on puisse dire qu'il a "fait son trou". Microsoft prévoit désormais une stratégie sur le long terme pour son moteur de recherche.

Ce moteur de recherche existe depuis moins de deux mois mais il a déjà effectué une meilleure croissance que MSN Live lors de son lancement en juin 2008. Il a en effet comptabilisé 8 % de visites en plus en juin.Il est spécialisé en recherches pratiques et les médias l'ont jugé plutôt positivement. En effet, Bing arrive à dépasser Google en termes de précision et de justesse dans certaines requêtes.D'après certains spécialistes, l'objectif premier de Bing n'est pas d'essayer de battre Google mais plutôt Yahoo!. Ce n'est donc pas la même échelle de résultats : en juin, 74 % des internautes américains ont utilisé Google, 16 % se sont tournés vers Yahoo! et 6,5 % vers Bing.On ne peut pas déterminer si Bing remportera le challenge : si la progression est attestée, on ne dispose que de peu de perspectives à moyen terme. En effet, Microsoft a déjà engagé beaucoup en publicité pour Bing et il est de ce fait moins étonnant de constater sa récente progression.On estime actuellement le budget publicitaire dont dispose Microsoft à presque 100 millions de dollars et, si les annonceurs sur Bing sont encore à la traîne, une augmentation conséquente du trafic pourrait les faire venir en plus grand nombre.
MaXisciences


Bien qu'elle n'ait pas encore convaincu les foules en dépit de deux versions majeures, la technologie Silverlight de Microsoft n'abandonne pas la bataille. Elle lance même un troisième assaut sur la suprématie de son rival Flash d'Adobe, à laquelle elle aimerait mettre un terme. Microsoft a effectivement publié aujourd'hui Silverlight 3.0, un jour avant la date prévue.

Cette nouvelle version de la technologie multiplateforme peut s'émanciper du navigateur puisqu'une application web peut désormais se lancer de manière autonome à l'aide de Windows Presentation Foundation (WPF), tout comme le fait Adobe avec l'application séparée AIR (Adobe Integrated Runtime).

La firme de Redmond a également mis l'accent sur l'intégration transparente des applications Silverlight aux pages internet, notamment par l'optimisation du référencement par les moteurs de recherche ou par les liens profonds (deep linking) qui permettent de pointer vers une section précise de l'animation, comme on le ferait pour une page conventionnelle en HTML.

Silverlight fait en outre un pied de nez à Flash en prenant en charge l'accélération matérielle du décodage des vidéos et de l'affichage des animations, de quoi permettre la lecture en haute définition sur des ordinateurs modestes, alors que la technologie d'Adobe est réputée pour accaparer le processeur à la moindre animation affichée. Notons toutefois qu'Adobe prévoit de tirer parti de CUDA (technologie propriétaire de NVIDIA) pour l'accélération de ses animations avec la prochaine version majeure, attendue en septembre ou octobre. Microsoft s'aligne enfin sur Adobe puisque cette nouvelle version supporte les codecs modernes H.264, MPEG-4 et AAC.

Silverlight 3.0 est donc disponible au téléchargement depuis le site de Microsoft. Il est compatible avec Internet Explorer, Firefox, Safari et Chrome sous Windows, Mac OS X et Linux.


En annonçant que son futur système d'exploitation, Chrome OS, serait gratuit, Google a attaqué de front la suprématie de Windows, de Microsoft, dans le domaine du PC, au moment où celui-ci subit de plein fouet l'impact des netbooks. Le lancement de Chrome interviendra au deuxième semestre de 2010, ce qui devrait marquer le début d'une probable guerre des prix entre le leader de la recherche sur Internet et le géant du logiciel, à l'heure où les PC doivent déjà faire face au succès des netbooks, ces ordinateurs à bas prix dédiés à un usage Internet. Bien que Windows bénéficie d'une position dominante sur le marché des systèmes d'exploitation, avec une part de marché mondiale de plus de 90 %, Microsoft ne prendra pas à la légère ce défi de Google, estiment les analystes. Le géant de Redmond doit lancer la version 7 de son OS au mois d'octobre.

« Il existe maintenant un concurrent avec du muscle et une marque reconnue »

« La stratégie de Microsoft devrait être axée sur la concurrence en terme de prix, avance Brent Williams, analyste chez Benchmark. Il existe maintenant un concurrent avec du muscle et une marque reconnue. Google est cette société. » Conçu pour être installé sur tout type de PC, Chrome OS, dont l'architecture repose sur le système libre Linux, sera dans un premier temps destiné au marché des netbooks, a annoncé Google, qui cible ainsi le seul segment en croissance d'un marché du PC en pleine contraction. Les prix des netbooks avoisinent généralement 300 à 400 dollars, mais ils chutent au fur et à mesure que de nouvelles offres se présentent sur le marché et que les opérateurs sans fil adoptent une politique incitative en matière de données.

Pression sur Microsoft

Shaw Wu, analyste pour Kaufman Bros, note que les prix de quasiment tous les composants des PC ont chuté, mais que la « seule chose qui n'a pas baissé est le coût du système d'exploitation. Cela va mettre un peu de pression sur Microsoft ». Microsoft ne dit rien des prix auxquels il vend Windows aux fabricants d'ordinateurs, mais les analystes l'estiment entre 20 et 40 dollars pour les versions XP, installées sur la majorité des netbooks, et au moins à 150 dollars pour l'actuel Windows Vista. La concurrence sur le terrain des prix pourrait à terme donner un coup de fouet aux marges des fabricants d'ordinateurs, estime Shaw Wu. « En définitive, ça devrait améliorer la rentabilité des vendeurs de PC. La question est ensuite de savoir dans quelle mesure le consommateur en bénéficiera », ajoute-t-il.

La mutation s'accentuera

Il devrait se vendre de 20 à 30 millions de netbooks cette année, accentuant la mutation du marché du PC. Même si les poids lourds du secteur – tels que Hewlett-Packard et Dell – lancent de nouveaux modèles, les analystes s'attendent à l'entrée sur le marché de nouveaux acteurs, parmi lesquels des équipementiers taiwanais ou des opérateurs (comme AT&T), avec des machines conçues autour de microprocesseurs x86, d'Intel, ou de puces ARM. Google a indiqué que Chrome fonctionnerait avec les deux architectures et que ses ingénieurs travaillaient à la conception et au développement d'ordinateurs avec les fabricants de PC, dont HP, Lenovo, Acer et Asustek, ainsi qu'avec les fondeurs tels que Qualcomm ou Texas Instruments. Personne n'était joignable chez Dell pour commenter l'information, et Microsoft ne s'est pas exprimé sur les déclarations de Google. Collins Stewart, analyste chez Ashok Kumar, doute que Chrome ne représente une quelconque menace pour Microsoft à court terme, il s'attend néanmoins à ce que la firme de Redmond réagisse. « Je pense que Microsoft saura être flexible sur ses prix pour répondre à n'importe quel challenge. »

Ce n'est que le début d'un marathon

« Avec le temps, Linux va prendre de l'importance et, avec l'adoption des netbooks par les opérateurs, Google va devenir un moyen pour eux de différencier leurs plates-formes. Mais ce n'est que le début d'un marathon », ajoute-t-il. Michael Silver, analyste chez Gartner, voit pour sa part en Google une menace pour Microsoft, mais doute que le géant du logiciel baisse le prix de Windows de sitôt. L'éditeur « sera limité par le fait que s'ils le font pour un (client), ils devront le faire pour tout le monde (…) S'il estime que c'est une menace, ils agiront en conséquence, mais les netbooks se vendent avec Windows XP depuis un moment et ont jusqu'à présent fait mieux que ceux équipés de Linux, malgré un prix plus élevé ». (Version française : Patrice Mancino pour Reuters)

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